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Lina Hadid a effectué son doctorat au LPP avant d’effectuer deux post-docs successifs à l’Institut de Physique de l’Espace d’Uppsala (IRFU, Suède) et à l’Agence Spatiale Européenne (ESA, Pays-Bas). Elle a ensuite été recrutée (en Janvier 2020) par le CNRS ce qui lui a permis de retrouver l’équipe des plasmas spatiaux du LPP. Ses travaux de recherche visent à mieux comprendre les processus d’interaction entre le vent solaire et les magnétosphères planétaires. Ils sont basés sur l’analyse des données in-situ ondes et particules de différents instruments à bord de différentes sondes spatiales de l'ESA, la NASA et la JAXA.
*LPP : une unité mixte de recherche CNRS, École polytechnique - Institut Polytechnique de Paris, Observatoire de Paris, Sorbonne Université, Université Paris-Saclay